Arrachages d'OGM L'AGPM dénonce un "principe de régression"
PARIS, 27 juil 2004 - L'Association générale des producteurs de maïs (AGPM) a estimé lundi, au lendemain de l'arrachage d'un champ de maïs transgénique par des militant anti-OGM près de Toulouse, qu'il existait "un nouveau principe : le principe de régression".
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"Au nom du principe de désobéissance civile, des individus s'octroient le droit de détruire, en toute illégalité et impunité, des parcelles d'expérimentation d'OGM officiellement autorisées avec pour invités les médias et face aux forces de l'ordre observatrices de +l'évènement+", souligne l'AGPM dans un communiqué. Pour l'AGPM "lorsque le droit est publiquement bafoué; lorsque les biens d'autrui sont impunément détruits; lorsque des travaux de recherche sont délibérément anéantis; ce n'est plus du principe de précaution dont il s'agit, ni même du principe d'inaction" mais "il s'agit en fait d'un nouveau principe: le principe de régression". Les programmes d'essais OGM en France - 48 parcelles sur seulement 7,3 hectares dans 15 départements - concernent principalement le maïs. |
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